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samedi 3 février 2018

"L'AF" disparaît après ce numéro :

Personne ne peut être assez bête  pour s'en réjouir, car l'expérience montre que les lecteurs d'un journal mort ne se reportent nulle part.
Ils disparaissent aussi. J'ai travaillé brièvement pour le bimensuel orléaniste, et je regrette ce temps-là… aussi. P. G.

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