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mercredi 19 juillet 2017

Angot remplace Burggraf à ONPC (France 2)


Née Schwartz et Castelroussine en 1959. Publie des livres ennuyeux et confus dits “d’autofiction”. Sans trop se fatiguer, puisque, signale aux pigeons l’encyclopédie en ligne Wikipédia®, « la plupart de ses œuvres sont le produit d'un processus de réécriture et de citations d'autres livres – emprunts explicites ou cachés au lecteur. » Exempli gratia :
• “L’Inceste” présente de nombreuses citations d’un sidéen décédé, Hervé Guibert, dès l’incipit.
• “Quitter la ville” contient de nombreux emprunts (réécrits ou fidèles) aux “Œdipe” de Sophocle, ainsi que des citations de “Cet amour-là” de Yann Andréa, dernier compagnon de Marguerite Duras. En outre, le texte est largement composé de citations d'articles de presse, de chroniques et critiques littéraires.
• Angot avoue s'être servie des “Cahiers” de Vaslav Nijinski et du “Livre noir” élaboré par Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman (sur la Shoah), afin de rédiger son ouvrage “Les Autres”.
L'Usage de la vie” est apparenté à “C'était tout une vie” de François Bon.
• C’est le vrai prénom de sa fille (dénonciation irresponsable) qui fait le titre de “Léonore, toujours”, où l'auteuse propose un poème qu'elle aurait rédigé pour sa fille avant d'avouer, quelques pages plus tard, l'avoir simplement recopié à partir d'un recueil.
Elle recopie aussi la morale et les mœurs “antiracistes” de sa clientèle, la petite-bourgeoisie urbaine et intellectuelle (abusivement dite “bobo, bourgeoise bohême”). On l’a vue et entendue, à la télévision, hurler de toutes ses forces, sans l’ombre d’un argument, comme une folle, à la figure d’Eric Zemmour, qui prétendait que l’immigration africaine massive nuisait au niveau scolaire.

Extrait de mon "Dictionnaire des Emmerdeuses", Grancher éd., 2012.

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