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samedi 26 février 2011

Vengeance de femme à Créteil (94)

Un médecin gastro-entérologue de 63 ans a été blessé mardi de plusieurs coups de couteau à l'intérieur de l'hôpital Henri-Mondor de Créteil par une femme en blouse blanche qui a réussi à prendre la fuite, a-t-on appris de sources concordantes. Elle aurait crié : “Vous avez tué mon père !”












mercredi 23 février 2011

Cas Cassez : ¡Viva Mexico!



Oh la la ! Notre ami Malliarakis est parfois très “Insolent”. Il en pose de ces questions :

1° oui ou non Florence Cassez a-t-elle été la compagne du kidnappeur Israël Vallarta, accusé d’enlèvements, d’amputation d’otages et d’assassinats. Le gang s'appelait “Los Zodiacos”, convaincu d’une dizaine d’enlèvements et de plusieurs assassinats, il n'a pas été entièrement démantelé. La maison où habitaient Florence Cassez et son compagnon Israël Vallarta Cisneros, chef d’une bande de criminels spécialisés à Mexico dans le rapt des femmes et des enfants de bourgeois aisés s'appelle “Las Chinitas” . C'est à cet endroit que Cristina Rios Valladares, son mari Raul et leur fils Christian âgé de 11 ans, derniers otages du gang, furent conduits le 19 octobre 2005, après avoir été capturés par trois hommes armés de fusils de guerre dans une banlieue résidentielle de la capitale mexicaine.

2° oui ou non Florence Cassez a-t-elle été mise en cause comme ayant participé directement à la séquestration et même à la programmation des enlèvements. La dernière victime, Cristina Rios Valladares affirme ainsi que le chef du gang provoquait chez sa compagne de formidables colères chaque fois qu’il venait bousculer sa victime et en abuser sexuellement : "Si tu continues à la sauter, je me vengerai sur elle, et tu n’auras pas ta rançon !" Voilà comment cette femme décrit sa douloureuse expérience : 

"Mon nom est Cristina Rios Valladares. J’ai été victime d’une prise d’otage, aux côtés de mon époux Raul et de mon fils qui avait 11 ans. Depuis ce jour notre vie a totalement changé… Ma famille est détruite. Ce que mon fils et moi avons vécu, du 19 octobre 2005 au 9 décembre de la même année, est indescriptible : 52 jours de captivité pendant lesquelles je fus victime d’abus sexuels et, avec mon enfant, de torture psychologique… 
Depuis notre libération, ma famille et moi nous vivons à l’étranger. Nous ne pouvons pas revenir à cause de la peur, car le reste de la bande n’a pas été arrêté… Nous avons appris la nouvelle de la peine de prison que Florence Cassez méritait, cette femme dont j’avais écouté la voix à de maintes reprises pendant ma captivité… 
Une voix d’origine française qui bourdonne encore aujourd’hui dans mes oreilles.
Une voix que mon fils reconnaît comme celle de la femme qui lui pris du sang pour l’envoyer à mon époux, avec une oreille qui lui ferait penser qu’elle appartenait à son fils.
Maintenant j’apprends que Florence réclame justice et clame son innocence. Et moi j’entends dans ces cris la voix de la femme qui, jalouse et furieuse, hurlait sur Israël Vallarta, son petit ami et chef de la bande, que s’il recommençait à s’approcher de moi, elle se vengerait sur ma personne. Florence raconte “le calvaire” de la prison, mais elle voit sa famille dans le pénitencier, elle émet des appels téléphoniques, elle réalise des interviews pour la presse et elle ne craint pas chaque seconde pour sa vie."



3° l'opinion mexicaine a-t-elle été ou non abusée par la déclaration de David Orozco Hernández, qui soutient que Florence Cassez partageait la direction des “Zodiacos”  :

"Florence Cassez nous a rejoint en 2004, et son influence pour imposer et isoler le chef, ou plutôt s’isoler avec lui, ont largement contribué à semer la discorde au sein de l’organisation… Ses fonctions la Française tenaient beaucoup à garder le secret, vis-à-vis des autres membres du groupe, sur les cibles potentielles des enlèvements et la réalité des sommes obtenues des familles d’otages… Ils estimaient que ces informations stratégiques n’avaient pas lieu d’être partagées." 

4° Le grand argument des défenseurs de Florence Cassez repose sur le fait que "l’arrestation de Florence Cassez et d’Israël Vallarta, en décembre 2005, avait fait l’objet d’une reconstitution spectaculaire face aux caméras de la télévision mexicaine, au lendemain des faits : la Justice et la Police étaient trop contentes en effet de démontrer enfin leur efficacité face au fléau national des enlèvements crapuleux, assortis de tortures et d’assassinats…" Mais Sedcontra.fr demande : "en quoi cet excès de zèle publicitaire, assorti d’une maladroite mise en scène, établirait-il pour toujours l’innocence de Florence Cassez ?"

Beaucoup plus en cliquant : 
version vocale sur le site de Lumière 101
------ Fin du message transféré

lundi 21 février 2011

Année France-Russie : bis !



Si notre brillante diplomatie a l’air de saboter bêtement l’année France-Mexique, c’est en réalité pour prolonger l’année France-Russie. Comme à la Pinacothèque de Paris, avec une exposition de tableaux de L’Ermitage (Saint-Pétersbourg).



Jean des Cars en écrit dans “Le Spectacle du Monde” (fév. 2011) : “Pères, aux XVIIIe et XIXe siècles, de la Russie moderne, les Romanov furent aussi des esthètes éclairés. A l’origine du musée de l’Ermitage, les collections réunies par Pierre le Grand, Catherine II, Alexandre Ier et Nicolas Ier témoignent de leur volonté d’arrimer l’Empire russe à l’Europe. La Pinacothèque de Paris retrace cette aventure.”


J’ai même écrit, récrit, travaillé plus de 30 ans “Vengeances de Femmes” !


Alors, parents, amis et camarades, si vous êtes agacés de voir les gros médias matraquer des livres que leurs “auteurs” s’avèrent n’avoir ni écrits, ni même lus, aidez-moi à subvertir ce système d’un simple clic :





faites suivre ce message à TOUTES vos listes de diffusion. 

Il n’y a dans “Vengeances de Femmes”, pour les scandaliser, qu'une douce plaisanterie sur l’antifascisme tardif du showbiz et quelques lignes de critique raisonnable du néo-féminisme US délirant. Le reste est édifiant et amusant.

Commencez donc par commander en ligne (et en sécurité). Cliquez sur :
Puis allez dans le “Catalogue” de Fol’Fer.
Je rembourse les mécontents !


Vengeances au "Doux Raisin" 
Gofman dédicace “Vengeances de Femmes” 2
au “Doux Raisin” 29 r. Descartes Paris 5e
Métro Cardinal-Lemoine
Lundi 21 février à partir de 18 h
et jusqu’à ce que… les bonnes femmes
déboulent avec les rouleaux à pâtisserie !

vendredi 18 février 2011

Libraire sauvage à Pontault-Combault (77)




Ce que Jean Dutourd ne verra pas

Ah la la ! depuis le temps qu’on nous le prédisait, c’est enfin arrivé : le livre est mort !
Il ne reste plus qu’à liquider nos stocks, les industriels chinois sont actuellement friands de papier à recycler, paraît-il.

C’est certes regrettable (la mort du livre, pas l’appétit papivore des Chinois qui viennent en plus d’acheter le Pirée, Porto et la tour Eiffel), mais après tout, ne plus voir les étalages encombrés de certaines productions, dont le contenu rejoint la médiocrité et la hideur de la couverture, n’est pas un drame. Ce qui compte, c’est l’écrit, n’est-il point ?





Ce qui frappe quand on parcourt les rayons de librairies ou de supermarchés qui vendent aussi des livres, c’est la laideur de ces objets. Pauvres crottes de l’esprit pondues hâtivement et façonnées à la va-vite sur des machines monstrueuses, vaguement collées dans un carton aux couleurs criardes ou d’un bon goût louisphilippard.

Ce ne sont que gribouillis style graffitis (oh, pardon, art de la rue !) ou marquises XVIIIe recyclées des couvertures d’Historia des années 60, fourbues d’être ainsi mises d’année en année au service du dernier plumitif qui a ses entrées à la télé, sans oublier les photos 1900 pour promouvoir la définitive biographie d’un ennuyeux barbichu forcément précurseur et défenseur des bassets rhumatisants ou de la chandelle électrique.

En dehors de quelques éditeurs soucieux de l’aspect de leurs productions et qui ont trouvé de ce fait un marché de niche, la laideur du livre est la règle absolue.

Je regarde les titres que le collège impose à mes fils. Quelques bons classiques, certes,mais si mal emballés ! De la retape. Quelle envie d’ouvrir ces opuscules aseptisés en tout point semblables à ces immondices nippones qu’on lit en commençant par la fin ?Comment respecter ce qui est si moche à voir ? Comment faire sienne la beauté de textes si laidement enrobés ? Comment les aimer ? Oui, bien sûr, nous avons tous le souvenir des Fleurs du Mal, de La Peau de chagrin ou des Illuminations lus dans un vieux poche un peu crasseux acheté chez un bouquiniste idem (je me souviens à 17 ans du Voyage au bout de la Nuit, âprement négocié 1 franc à
une cloche du quai de la Fosse). Parfois, on l’a même gardé, ce vieux poche miteux, cet exemplaire en loques, cette Bibliothèque verte dégondée. En souvenir évidemment, même si l’on s’est depuis offert des éditions originales ou de beaux illustrés. Celles par qui on est un peu devenu ce qu’on est.
J’ai toujours eu pour les livres le même respect que pour le pain, même le pire moisi croûton nourrira un moineau inconnu (à cinquante piges je peux me permettre d'écrire une phrase sérieuse, quand même).

Si la nouvelle mode des tablettes, des aïe-boucs et autres haïs-machins incite les éditeurs à ne plus jeter que sur ce genre de supports les milliers de titres médiocres ou carrément nuls qu’ils infligent au public au hasard (en se disant qu’il y en aura peut-être un qui marchera), après tout...

Reste à se promener avec son engin, la batterie, le fil de la batterie, en espérant une prise électrique à proximité. Pour le camping en Aubrac, évitez Tolstoï ou emmenez une gégène.

N’empêche que le vieux poche, l’édition miteuse des années trente, ils sont là, le grand papier aussi, le bel illustré aussi, et aussi la reliure parfois centenaire dont le chagrin ciré brille doucement en appelant votre caresse.

Vous vous voyez caresser une tablette ?


Marc Vidal


Librairie Les Oies Sauvages
BP 16
77343 Pontault-Combault cedex
Tél + fax : 01 60 34 72 67 
oies.sauvages@orange.fr

Islamo-trotskisme à Poissy (78)


La CGT-Force ouvrière est noyautée jusqu’à l’os par les trotsko-lambertistes (P.O.I.). Des bouffeurs de curés qui ont arraché “La libre Pensée” des mains des anarchistes. Ça ne les gêne apparemment pas pour distribuer un calendrier musulman aux ouvriers de Peugeot-Citroën à Poissy (Yvelines), rapporte “Présent” (17/2).


mardi 15 février 2011

La revanche de Gofman


Patrick Gofman avait livré en novembre à Nouvelles de France une réflexion comme lui seul en a le secret sur le féminisme. A l'occasion de la sortie de la 2ème édition de son dernier livre "Vengeances de Femmes", l'écrivain a bien voulu répondre à nos questions.

Pourquoi une seconde édition de "Vengeances de Femmes" ? Est-ce dû à une forte hausse de ces vengeances ces derniers mois, à une demande du public, de votre éditrice ?


La véritable explication est pire encore. Je travaille (à temps partiel) sur “Vengeances de Femmes” depuis plus de 30 ans. Quand après 100 refus je l’ai proposé à Benoît Mancheron (Ed. Equilatéral) en 2009, j’avais 30 anecdotes prêtes. J’en voulais 50. Mais Mancheron a préféré publier immédiatement un maigre volume. De plus, son association avec Antoine Cucurullo a vite éclaté. Equilatéral disparu, la promotion de “Vengeances de Femmes” 1 en panne, j’ai cherché un autre éditeur. Ce fut, merveille, une éditrice ! Sabine Bénichou, de L’Atelier Fol’Fer, m’a encouragé à écrire 20 histoires de plus. Et elle a éliminé les illustrations agressives de la première édition, remplacées par un tableau — d’une femme, Artemisia Gentileschi ! — de la Renaissance… Merci, Mesdames.


En quoi la vengeance d'une femme est-elle différente de celle d'un homme ?


C’est Nietzsche qui vous répond : “En amour et dans la vengeance, la femme est plus barbare que l’homme.” 


Allez-vous nous préparer "Vengeances d'hommes", parité oblige, pour soigner/ménager votre lectorat féminin ?


J’ai en cuisine “Eros et Thanatos sont dans un bateau”, roman noir de la vengeance insensée, sanglante, d’un homme fou d’amour. Le manuscrit est chez un éditeur de Quimper qui m’a promis de le lire “dans 11 mois” (sic) ! Et je viens d’offrir à Thibaut de Chassey, de la Librairie française en ligne, d’en faire un livre électronique à 3 €.

Que pensez-vous de la femme libérée, carriériste, cadre sup' à La Défense, carnassière et seule, désespérément seule ? Faut-il voir dans son attitude une revanche ?



Revanche pour le macho, oui ! Savez-vous qu’il y a aujourd’hui en France 14 millions de célibataires pour 27 millions d’actifs ? Ajoutez-y 3,8 millions de “couples non-cohabitants”, et vous trouvez une majorité absolue, écrasante, de solitaires des deux sexes. J’en suis. Et j’ai une raison, une seule, de m’en affliger. Mille raisons de m’en féliciter. Tandis que les femmes seules, pour la plupart, se désespèrent et regrettent de les avoir cassées à l’homme qui les aimait. Trop tard ! Dégage !


Vengeances de femmes, Atelier Fol'Fer, 2011.

lundi 14 février 2011

Vengeances au "Doux Raisin"


Gofman dédicace “Vengeances de Femmes” 2 au “Doux Raisin” 29 r. Descartes Paris 5e M° Cardinal-Lemoine

Lundi 21 février à partir de 18 h


...et jusqu’à ce que les bonnes femmes déboulent avec les rouleaux à pâtisserie !

samedi 12 février 2011

Cantonales - Nice 14 : Le FN soutient la candidature de Jacques Peyrat

La commission d’investiture du Front National, réunie le 7 février 2011, a décidé de soutenir la candidature de Jacques Peyrat dans le 14e canton de Nice.


La suppléante de Jacques Peyrat sera une candidate du Front National. Le Front National se félicite de cet accord politique qui permettra de mettre fin à la politique nuisible du PS dans ce canton et aux aspirations tout aussi nuisibles de Madame Estrosi.

jeudi 10 février 2011

“Vengeances de Femmes” en avant-première

Patrick Gofman dédicace “Vengeances de Femmes” 2
samedi 12 février 2011, avec Synthèse nationale,
de 15 h à 18 h, Espace Dubail
(18, passage Dubail Paris Xe - M° Gare de l'Est)