Les assassins de Mamadou et Sherif ne leurs auront pas laissé l'ombre d'une chance. Ces deux jeunes gens issus de la cité HLM qui coiffe l'angle des rues Letord et André-Messager ne vendront plus de drogue, ayant été rafalés à l'arme automatique dans la nuit de mardi à mercredi dernier par les occupants d'une Mégane bleu fumée. Des encagoulés qui n'auront pas hésité à tirer dans le tas, à l'aide d'un fusil mitrailleur, au beau milieu des badauds se rendant à la fête de la musique. Le mobile de ces deux assassinats, tous les riverains de ce quartier s'en doutent : un règlement de compte entre bandes rivales pour s'assurer le contrôle de la vente de stupéfiants sur le nord du 18e arrondissement de Paris. certes, peu de monde pleurera la disparition de Mamadou et Sherif, deux petites frappes déjà inculpées pour violences, agressions sexuelles et trafic de drogue. Deux minables, dont l'envie de jouer dans la cour des grands leur aura coûté la vie. Les enquêteurs de la brigade criminelle sont en charge de cette affaire.
mercredi 23 juin 2010
deux dealers froidements abattus sur le 18e arrondissement
Les assassins de Mamadou et Sherif ne leurs auront pas laissé l'ombre d'une chance. Ces deux jeunes gens issus de la cité HLM qui coiffe l'angle des rues Letord et André-Messager ne vendront plus de drogue, ayant été rafalés à l'arme automatique dans la nuit de mardi à mercredi dernier par les occupants d'une Mégane bleu fumée. Des encagoulés qui n'auront pas hésité à tirer dans le tas, à l'aide d'un fusil mitrailleur, au beau milieu des badauds se rendant à la fête de la musique. Le mobile de ces deux assassinats, tous les riverains de ce quartier s'en doutent : un règlement de compte entre bandes rivales pour s'assurer le contrôle de la vente de stupéfiants sur le nord du 18e arrondissement de Paris. certes, peu de monde pleurera la disparition de Mamadou et Sherif, deux petites frappes déjà inculpées pour violences, agressions sexuelles et trafic de drogue. Deux minables, dont l'envie de jouer dans la cour des grands leur aura coûté la vie. Les enquêteurs de la brigade criminelle sont en charge de cette affaire.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Je comprends que le métier de journaliste comprend le fait d'informer et d'exprimer librement son point de vue.. Je rejoint votre opinion: "peu de monde pleurera leur disparition".. tout comme peu de monde pleurera la votre.. Effectivement vous avez certainement une famille, des amis qui vous pleureront.. Eux aussi.. personne ne vous demande si ils étaient minables.. Mais en comparaison avec votre article nous pouvons constater que vous l'êtes autant comparés à une majorité de journalistes bien meilleur que vous..
RépondreSupprimerAlors pleurez pour eux, cher "Anonyme", si pour vous des dealers de drogue ne sont pas des minables je vous conseille d'ouvrir un blog pour élever ces racailles au rang qu'ils méritent, des héros pourquoi pas ??
RépondreSupprimerenfin des arguments sans gênes, des arguments pures!
RépondreSupprimerC'est ce que tout le monde a pensé suite à cette information.. "Ils se règlent le compte entre eux, tant mieux!"
Malgré que ce soit de l'information futile, de ma part je me régale à chaque nouvelle du genre!
Quelle honte devient ce Paris...
RépondreSupprimer18 arrondissement est une vraie honte!!!
Je fesais visiter dernierement à des invités Paris, j'ai par maladresse passé en plein milieu d'un vrai bordel.
Rien est fait à Paris, qu'elle force politique peut remettre de l'ordre dans nos villes?
Il y en a marre.
Mobilisez vous!