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lundi 26 octobre 2009

C’est un jeu dangereux auquel se livre dans Paris, depuis des mois, des bandes de braqueurs.
Risquant leur peau et celles des passants se trouvant à proximité des distributeurs de billets de banque, en plein jour, passant entre deux potelet, ils écrasent une voiture préalablement volée sur la façade du distributeur. Parfois, la manœuvre rate. Parfois, c’est 3000, 6000 euros qui sont dérobés, au maximum.

Par ailleurs, les banques et les fourgons blindés étant devenues des sanctuaires imprenables, la racaille n’a d’autre choix que d’attaquer le maillon faible, comprenez les malheureux dabistes, ces salariés smicards qui risquent leur peau au quotidien. Sans arme pour se défendre, tant qu'à faire...

A quand le premier décès dans leurs rangs ?




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